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L’e-cigarette est utilisée par plus d’un million de personnes régulièrement et les témoignages ne sont que positifs. On constate de nombreuses personnes qui finissent par se passer du tabac rien qu’en adoptant la cigarette électronique, il est presque obligatoire pour les médecins de se prononcer en faveur de cette astuce. D’ailleurs, le produit est moins cher sur le marché. En effet, un achat cigarette electronique permet de faire une large économie par rapport à la consommation de cigarette traditionnelle. « Tout ce qui diminue la consommation de tabac est bon à prendre » selon les spécialistes. Et même si moins fumer ne garantit pas un arrêt du tabac, la cigarette électronique réduit considérablement la consommation de nicotine. Les spécialistes déplorent le manque d’évaluation du produit qui est vendu sur internet et dans des boutiques spécialisées. Devenus un produit de consommation courante, certains craignent surtout que les jeunes soient incités à fumer à cause de son aspect gadget.

Le kit e-cigarette : un gadget fumeux moins toxique

La cigarette électronique est un produit évolutif, car elle est sans odeur ni feu. Un kit e-cigarette est un gadget que procurent les personnes consommatrices d’e-cigarette. L’e-cigarette s’agit d’un produit inoffensif jusqu’à preuve du contraire, car elle ne contient pas de goudron, de monoxyde de carbone et des autres milliers de produits toxiques présente dans les cigarettes traditionnelles. Le phénomène crée une grande polémique en ce moment entre un vendeur d’e-cigarette et un buraliste. Ce dernier accuse en effet le vendeur de faire de la publicité déloyale et le procès est en cours… et le jugement est très attendu très prochainement. Quoi qu’il en soit, la cigarette électronique intéresse de plus en plus de personnes et pour preuve, les consommateurs ne cessent de s’accroitre et ceux dans le monde entier en France comme aux Etat Unies.

La cigarette électronique devance les patchs et les gums à mâcher

Pour essayer d’arrêter de fumer, on tout essayé les patchs nicotiniques ou encore les différents gums à mâcher, mais en vain, on fume encore et toujours. En ce moment, la cigarette électronique s'est avérée nettement plus efficace que les patchs pour réduire la consommation de tabac chez ceux qui n'ont pas réussi à stopper complètement la cigarette classique. 57% de ceux qui ont testé l’e-cigarette, ont réussi à diviser par deux ou plus leur consommation de tabac alors que seulement 41% de ceux utilisant le patch sont parvenus à ce résultat.

Le sujet de la cigarette électronique intéresse plusieurs personnes, mais tout le monde ne partage pas les mêmes avis. D’un côté, il y a ceux qui sont pour que la cigarette électronique permette d’arrêter de fumer, que c’est moins toxique et que c’est le meilleur moyen pour réduire le tabagisme et la consommation de nicotine. D’un autre coté, c’est tout à fait le contraire, car ils pensent que la cigarette électronique est juste un simple gadget sans intérêt pour faire du marketing.

Selon Brice Lepoutre, président de l’Aiduce, la cigarette électronique a créé quelque 400 boutiques en France. C’est l’économie de l’e-cig qui est vraiment soulagée de cette nouvelle, il estime que l’industrie de l’e-cigarette représente un chiffre d’affaires d’environ 100 millions d’euros pour  environ 2000 emplois.

L’E-cigarette est reconnue comme vraie substitution

Le 8 octobre dernier, le suspens règne aussi bien au sein du Parlement européen qu’en dehors du bâtiment où les différentes associations se sont donné rendez-vous en vue de repousser la proposition de la Commission européenne concernant le  classement l’e-cigarette parmi les médicaments. Vers midi, le résultat du vote a été prononcé. Les propriétaires de magasins ont eu peur surtout pour ceux qui ont déjà ouvert plusieurs boutiques. Karin Warin, à la tête de la marque Clopinette, l’une des principales chaînes de magasins en France, est en effet contente de ce vote fracassant. « C’est ce qu’on attendait, » a-t-elle dit. L’E-cigarette est maintenant reconnue comme une vraie substitution du tabac, confirme-t-elle. Bertrand Dautzenberg a observé que les ventes de cigarettes a basculé de 1% par mois depuis le premier trimestre de l’année 2013, une baisse que l’on n’avait pas observée depuis dix ans. Ce chiffre correspond enfaite aux nombres de personnes qui sont passés en « mode vapoteur », rien qu’en France on compte un million de personnes qui vapotent. L’impact économique du marché de cigarette électronique est vraiment incroyable d’après Brice Lepoutre, président de l’AIDUCE. En totalité, pour l’année 2013, le chiffre d’affaires atteint de 100 millions d’euros pour quelque 2000 emplois, entre les fabricants d’e-liquide, les distributeurs et les emplois induits.

Les industries de tabac ont racheté des marques d’E-cigarette aux États-Unis

L’eurodéputé Yves Martinet  n’avoue pas convaincu, les magasins spécialisés ne vivront qu’un temps. Selon lui, le marché a dû être réservé aux pharmaciens sinon les cigaretiers vont le récupérer. Aux États-Unis, les puissantes industries de tabac ont déjà commencé à riposter, ils ont racheté des marques de cigarettes électroniques prometteuses. Peut être qu’en France qu’il an va de même d’ici quelque temps. Ce qui est sût c’est que les acteurs du tabac ont deux choix principaux dont l’un est de détruire le marché de la cigarette électronique et l’autre étant d’investir dans l’affaire. Pour le cas de l’inventeur chinois Hon Lik, avec qui l’histoire de la cigarette électronique a tout commencé, il a préféré s’associer à impérial Tobacco, une puissante industrie de tabac, dans lequel il sera nommé comme conseiller. Dans un communiqué de presse, il affirme que « Les cigarettes électroniques qui circulent sur le marché ont toutes comme origine celle qu’il a inventée, ce sont des clones ou des copies. » Hélas, le gouvernement chinois n’a pas bougé le doigt face à ces voleurs de brevet, ainsi Hon Lik a décidé de faire affaire avec Impérial Tobacco. En revanche, ce dernier propose également à l’inventeur d’acheter son brevet pour 75 millions d’euros tout en gardant le poste de conseiller. Mais le chinois semble avoir d’autres projets en vue.

Aujourd’hui est la date cruciale pour la cigarette électronique ainsi que pour ses adeptes. Va-t-elle être classée comme un médicament ou alignée parmi les tabacs. Le Parlement doit annoncer ce jour le résultat des votes faits hier porter sur la mise en place d’une loi encadrant la vente de l’e-cig.  De leur côté, les associations continuent à protester qu’une telle décision poussera à nouveau les usagers à replonger dans le tabagisme. Le suspens règne !

L’E-cigarette sera moins accessible

L’Association indépendante des Utilisateurs de Cigarette électronique (AIDUCE) ainsi que Collectif des acteurs de la cigarette électronique (CACE) ont avancé des milliers d’arguments et restent catégorique que le fait est que l’E-cigarette doit être vendu librement, les fumeurs doivent avoir un accès libre à sa procuration. « Plus le produit est accessible aux fumeurs, plus ils seront nombreux à arrêter le tabac » signale Brice Lepoutre, président d’Aiduce. Les utilisateurs de cette fameuse e-cigarette se demandent jusqu’ici si l’e-cigarette ne va être disponible qu’en pharmacie, si la composition de l’appareil pouvait être changée ? Les modèles avec nicotine seront-ils bannis ? Est-ce que le choix sera toujours aussi large qu’avant ? Mais pas de réponse concrète. Peut-être dans quelques heures, on le saura. Un rapport de l’Office français de prévention du Tabagisme (OFT) sur la cigarette électronique indique en mois de mai dernier que « l’e-cigarette, bien fabriquée et bien utilisée est un produit qui présente des dangers infiniment moindres que la cigarette classique ». Tandis que la commission européenne subsiste que « l’e-cigarette doit conserver leur fonction initiale, c’est-à-dire permettre aux fumeurs d’arrêter le tabac. D’où notre proposition de la classer comme un produit pharmaceutique » explique un porte-parole bruxellois.

L’E-cigarette est loin d’être un produit de consommation courante

Par faute de règlement et de normes internationales sur la commercialisation de l’e-cigarette. Les pays européens imposent à chacun leurs propres règles au sein de leur territoire. Le gouvernement de la grande Bretagne a d’ores et déjà annoncé que la cigarette électronique ainsi que la fameuse recharge e-liquide seront réglementées en tant que produit pharmaceutique dès 2016. En mois de juin dernier les députés ont voté un amendement interdisant sa vente aux moins de 18 ans. Le principal auteur du rapport remis à l’OFT, le professeur Dautzenberg s’inquiétait aussi sur cette partie et a dit que « ce gadget est loin d’être un produit de consommation courante ». À l’exemple du tabac, le gouvernement prévoit également de bannir l’e-cigarette des lieux publics. Dans le cas où le Parlement européen suppose que l’e-cigarette soit une anaphore nicotinique pour le sevrage du tabac, une autorisation de mise sur le marché accompagnera cette décision. Néanmoins, le projet de loi que le parlement va mettre en place prévoit, mis à part la directive cloisonnant la cigarette électronique, de renforcer les avertissements sur les risques pour la santé  sur les paquets de cigarettes et l’interdiction de tous les parfums ajoutés au tabac.

Chaque pays semble déjà avoir un bon plan afin de régulariser la vente de la cigarette électronique chez eux, mais à la fin les fabricants doivent respecter les normes européennes qui seront bientôt appliquées dans deux ou trois ans.

Suite à un débat de certains membres d’un blog concernant les dangers, les risques et les bénéfices de l’e-cigarette et la meilleure façon d’encadrer sa commercialisation ont incité la personne qui se trouve être l’administrateur du blog, où la discussion à eu lieu, de mener une enquête en ce qui était dans d’autres pays tel le canada.

Information incomplète de la cigarette électronique

Tout d’abord, c’est grâce à la contribution d’Hélène Valentini de l’Institut National de Santé publique du Québec (INSPQ) qui a signalé un rapport récemment analysant la situation en Québec sur le sujet  qui est la cigarette électronique. Ainsi, l’incertitude ne reste pas dans une seule nation comme tout le monde l’avait pensé. La première information et pertinente étant l’absence ou le manque de l’information disponible : « Jusque là, les dites recherches ou études qui ont été vulgarisés ne présentent que des informations incomplètes sur les composants de ce fameux gadget. La plupart ne démontre que les cigarettes électroniques avec nicotine alors qu’elles sont très nombreuses à propos de celles où la nicotine est absente. Par ailleurs, l’inexistence des normes associées à la conception de l’E-cigarette renforce l’incertitude au niveau des consommateurs et au niveau des organismes de la santé. C’est alors que des constituants chimiques synthétiques ont été dénichés ainsi que des métaux lourds tels le nickel, le chrome et le pire du formol. Entre autre, le contenu d’un flacon d’e-liquide, la fameuse recharge ne correspond pas à la quantité mentionnée sur l’étiquette. Pour preuve, de la nicotine a été détecté dans des flacons étiquetés sans nicotine. »

La cigarette électronique : du flou à éclaircir

Ensuite, la deuxième raison pour laquelle on est toujours dans l’incertitude étant les effets de l’e-cigarette sur la santé du vapoteur. « Les seules théories sorties de différents chez d’œuvres des scientifiques ne justifient guère les probables effets secondaires associées à la consommation de l’e-cigarette, que ce soit avec ou sans nicotine. » La synthèse de Valentini révèle un commentaire qui a été suscité de nombreuses fois au sein du débat : « Faire une précision ou donner une conclusion générale sur l’efficacité de la cigarette électronique comme étant la seule méthode de lutte contre le tabac est actuellement impossible du faite de la variabilité des marques et des modèles de kit e-cigarette écoulés sur le marché et particulièrement les produits qui se vendent en ligne. Il est clair que les consommateurs se retrouvent dans une boîte d’incertitude sans issus si bien que plusieurs personnes réclament une réglementation sur l’autorisation de mise sur le marché en la classant parmi les produits pharmaceutiques. Mais la prise d’une telle disposition surprenne d’autres qu’un produit  permettant d’arrêter de fumer ou de se passer définitivement du tabac soit ainsi approuvé alors que la cigarette classique est en vente libre. Les arguments des scientifiques ne peuvent jusqu’ici prouver le contraire si l’on se réfère aux données disponibles.

L’avenir de l’e-cigarette est une grande énigme à résoudre. Déjà elle n’a pas réellement sa place en tant que produit de consommation courante et encore moins parmi les médicaments en tant que remède contre le tabagisme.

Dans l’optique d’informer et de recevoir des informations en retour sur la cigarette électronique, on a conçu ce blog. Si vous êtes intéressés par le sujet notamment sur les modèles d’e-cig en vogue, sur la réglementation de sa commercialisation, le nombre de consommateurs mondiaux actuels… bref tout sur la cigarette électronique, nous vous invitons vivement à devenir membres. Pour se faire, un espace a été mis en place.

Nous vous souhaitons de passer un agréable moment durant votre visite.